Lau a écrit : ↑19 mars 2018, 19:43
Par contre rebouler redonne de la force, beaucoup même ! Il faut attendre un bon moment...
Waouh, Lau, alors là, tu ouvres la boîte de Pandore : je n'y comprends de nouveau plus rien, à ces questions de force et de fermentation

Je m'explique :
- en processus habituel de panification, il me semblait avoir compris qu'une pâte ayant passé le cap de la sur-fermentation était irrattrapable, réseau de gluten complètement bouffé.
- pourquoi, alors, la pâte à pizza échappe-t-elle à cette malédiction : des jours de fermentation, pâte devenue mollassonne, on la boule et hop, elle retrouve de la force, elle repart pour des jours ? Pourquoi ne peut-on pas faire la même chose avec la pâte à pain ? Par exemple, dans mes récents essais avec FE, ma pâte était devenue inerte, complètement molle, sans aucune tenue, (comme ma pâte à pizza hier, avant que je ne la boule) : si je l'avais reboulée serré, elle aurait retrouvé de la force, elle aussi ?
Au secours, Lau, je suis perdu ! (pas d'urgence pour la réponse, hein, quand tu auras le temps, mais vraiment, là, j'aimerais comprendre, j'ai l'impression de passer à côté de quelque chose d'important

)
Lau a écrit : ↑19 mars 2018, 19:43
Plutôt que les bols, je vous conseille d'acheter un bac style Gilac avec couvercle. Fleurer à fond, avec pourquoi pas de la stacapizza, bouler et mettre dans bac et au froid couvert.
C'est une super idée : tu veux dire qu'on peut laisser les pâtons fleurés côte à côte dans le bac, sans aucun autre récipient pour les contenir ? Ça m'arrangerait drôlement, parce que, après avoir découvert qu'on pouvait conserver ces pâtons plusieurs jours (voire 2 semaines, n'est-ce pas, Jean-Marc

), je m'étais dit que je pourrais en avoir en réserve en permanence ; mais alors là, le frigo devenait très encombré, avec tous ces bols

.